La détection de clash (ou « détection de conflits ») correspond au processus de superposition entre deux représentations du bâtiment, ayant pour objectif d’identifier les « clash » (différences) entre les deux entités. Ces deux représentations peuvent être de différents formats (maquette numérique BIM ou nuage de points notamment), issues de différents acteurs du projet, et représentatives de différentes temporalités.
Ainsi, un processus de détection de clash permet de détecter si deux éléments (réseaux, cloisons, etc.) d’un bâtiment s’interfèrent de manière inappropriée ou imprévue.
Nous notons deux principaux types de conflits au niveau de la géométrie du bâtiment :
Remarque : il est aussi courant d’entendre parler de « workflow clash ». Ces derniers ne font pas référence à des conflit d'objets, mais plutôt aux conflits de flux de travail et de calendriers.
En comparant deux empreintes d’un bâtiment, les maîtres d’œuvre peuvent identifier mettre en place des actions correctives en fonction des « conflits » détectés entre les objectifs de réalisation et le réel.
Par exemple, un nuage de points du bâtiment généré en phase EXE lors d’une phase clé du chantier (ex : avant coffrage) pourra être comparé à la maquette numérique de conception. Les conflits identifiés avant qu’il ne soit trop tard permettront de mettre en place des actions correctives et de réduire les coûts engendrés par des erreurs non identifiées en phase de construction.
La détection de clash permet ainsi d’anticiper et de limiter les aléas chantier et d’améliorer la qualité du projet.
Plusieurs facteurs organisationnels et humains peuvent engendrer des clashs :
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La détection de clash (ou « détection de conflits ») correspond au processus de superposition entre deux représentations du bâtiment, ayant pour objectif d’identifier les « clash » (différences) entre les deux entités. Ces deux représentations peuvent être de différents formats (maquette numérique BIM ou nuage de points notamment), issues de différents acteurs du projet, et représentatives de différentes temporalités.
Ainsi, un processus de détection de clash permet de détecter si deux éléments (réseaux, cloisons, etc.) d’un bâtiment s’interfèrent de manière inappropriée ou imprévue.
Nous notons deux principaux types de conflits au niveau de la géométrie du bâtiment :
Remarque : il est aussi courant d’entendre parler de « workflow clash ». Ces derniers ne font pas référence à des conflit d'objets, mais plutôt aux conflits de flux de travail et de calendriers.
En comparant deux empreintes d’un bâtiment, les maîtres d’œuvre peuvent identifier mettre en place des actions correctives en fonction des « conflits » détectés entre les objectifs de réalisation et le réel.
Par exemple, un nuage de points du bâtiment généré en phase EXE lors d’une phase clé du chantier (ex : avant coffrage) pourra être comparé à la maquette numérique de conception. Les conflits identifiés avant qu’il ne soit trop tard permettront de mettre en place des actions correctives et de réduire les coûts engendrés par des erreurs non identifiées en phase de construction.
La détection de clash permet ainsi d’anticiper et de limiter les aléas chantier et d’améliorer la qualité du projet.
Plusieurs facteurs organisationnels et humains peuvent engendrer des clashs :